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    Z… Zoom sur ce challenge 2019

    Et bien voilà, je suis arrivée au bout de ce challenge 2019 ! Avec la fierté d’avoir été fidèle au poste chaque jour. J’ai replongé dans les recensements de 1872 dès les vacances de Noël il y a bientôt un an, c’est dire la préparation que le challenge demande ; et je n’ai pas écrit de long article tous les jours.

    J’aime beaucoup retrouver ces ancêtres dans les recensements, ce qui permet de donner du corps à cet arbre qui n’est pas qu’une succession de noms et de dates.

    Pour conclure, voici la carte de localisation de nos ancêtres, rencontrés cette année pour mon mari, et l’an dernier pour moi.

    En bleu mes ancêtres, en orange ceux de mon mari, en orange clair les recensements non déposés.
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    Y… Y’avait aussi

    Jean Étienne LOISEAU est un cultivateur âgé de 48 ans. Lors du recensement de 1872, il vit avec sa femme Anne Hortense LEGER, du même âge, au hameau de la Guillemotte à Dampierre-en-Crot.

    Vivent avec eux trois enfants : tout d’abord leur fille Marie Léontine Isabelle âgée de 11 ans, puis deux fils Justine Pierre et Victore Eugène âgés respectivement de 8 et 5 ans. Un autre fils, l’aïeul de mon mari, était également en vie en 1872, mais aucune trace de lui. Notre couple aura eu au moins dix enfants.

    Avec eux vit Louis BEDU, enfant de 2 ans (sans profession, bien évidemment), originaire de Villegenon, non loin de là.

    J’ai retrouvé l’acte de naissance de ce dernier, il est fils naturel d’une certaine Eugénie BEDU, domestique de 27 ans. Mais je ne sais pas pour l’heure s’il est en famille avec notre couple, ou bien s’il a été placé.

    Pour en revenir au titre, s’il fut cultivateur, Jean Étienne exerça également la profession de garde particulier sur une courte période.

     

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    X… Il manque

    Si j’ai réussi à compléter chaque lettre du Challenge AZ cette année, ce fut de justesse. Car il me manque un nombre assez important d’ancêtres dans les recensements de 1872, alors qu’ils sont en vie ; non pas que je ne les ai pas trouvé, mais parce qu’ils n’étaient pas trouvables !

    En effet, les recensements de Morogues et d’Aubinges, deux communes où ont vécu ces ancêtres n’ont pas été déposés. Me voici donc avec des informations introuvables…

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    W… Western

    En 1872, Marie DURANT vit au Grand Faubourg, à la Chapelle d’Angillon. Elle est alors âgée de 62 ans. Bien que son époux soit mort depuis 25 ans, elle n’est pas seule. Avec elle vivent son fils François JACQUET, cantonnier âgé de 33 ans, sa femme Catherine DIARD, et leur fils François JACQUET âgé de 3 ans.

    Marie DURANT fut la troisième épouse de Jean JACQUET ! Lors de leur union elle était âgée de 23 ans, et son époux de 37 ans. Pour le moment je n’ai pas trouvé de lien avec la branche JACQUET présentée hier.

    Où se trouvent les descendants de Jean JACQUET au même moment ?

    • André, fils de sa première union avec Véronique AFFOUARD vit à Ivoy-le-Pré (au hameau de Cornu si je lis bien) avec sa femme Véronique MERCIER. Il est journalier et trois enfants vivent avec eux ; ils sont âgés de 25 à 13 ans (il faut dire que Jean n’a que neuf ans d’écart avec Marie DURANT, sa belle-mère).
    • Angélique, également née de cette première union, vit à la Chapelle d’Angillon, dans le bourg. Elle est journalière et vit avec sa fille Marie MERLIN âgée de 19 ans. Dans la même maison vivent deux autres foyer, le premier composé d’un ancien gendarme, sa femme et deux filles. Et le second composé d’une journalière et son fils Aristide MERLIN. Il me faudra vérifier s’il y a un lien avec l’ancien époux d’Angélique.
    • De son union avec Marie DURANT, Jean JACQUET eut tout d’abord Charles Joseph, dont nous avons parlé en lettre O. Il y eut également François, dont nous avons parlé juste au-dessus.
    • Leur dernier fils Victor vit au Grand Faubourg comme sa mère.  Il est journalier et vit avec sa femme et trois enfants âgés de 5 ans à … 8 jours !

    Pourquoi le titre western ? Car ces ancêtres sont ceux qui vivaient le plus à l’ouest…

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    V… Vincent JACQUET

    Un très court article aujourd’hui. En 1872, Vincent JACQUET, journalier, vit avec sa femme Marie BAILLY à Ivoy-le-Pré au hameau de Bréviande. Ils ont 71 ans tous les deux.

    Avec sa première épouse, Marie MORIN,  il eut Guillaume JACQUET que nous avions rencontré pour la lettre K. Cette union fut courte, leur mariage eut lieu en novembre 1833, Guillaume naquit en septembre 1834, et un second fils, Auguste,  vit le jour début 1837. Le nouveau-né meurt en mai de la même année à l’âge de 3 mois, un mois à peine après le décès de sa mère âgée de 25 ans.

     

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    U… Un au revoir

    Je fais une parenthèse dans cette fin de challenge pour rendre hommage à une généalogiste nous a quitté hier. Elle a fait ses recherches sur des fiches bristol, recopié les informations sur un grand arbre éventail. Elle m’a montré fièrement l’arbre de mon mari, son petit-fils, qui remonte jusqu’à un homme qui a combattu à Azincourt. Je sais qu’on lui a lu mon premier article du challenge.

    C’est avec tristesse que je souhaite au revoir à Marie-Thérèse.

     

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    T… Théophile Henri AUCHERE

    Théophile Henri AUCHERE, aïeul de mon mari, n’est âgé que de 5 ans lors du recensement de 1872

    Il vit aux Poteries, hameau de Neuvy-deux-Clochers avec ses parents François AUCHERE, propriétaire de 46 ans et Anne Amélie GIRARD, 42 ans. Un frère et une soeur complètent la fratrie : François et Marie Amélie (même prénom que leurs parents), âgés respectivement de 16 et 8 ans.

    Théophile Henri deviendra potier… aux poteries !

    J’avais parlé de ce hameau lors d’un précédent article, je vous mets une nouvelle photo de la cathédrale de Jean LINARD !

     

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    S… Subligny

    Nous retrouvons aujourd’hui une petite famille : Denis BONTEMPS, journalier âgé de 71 ans vit avec sa seconde femme Marie Madeleine DAVID.

    Leur maison se situe au hameau des Godons, en la commune de Subligny. Nous y avions retrouvé François BONTEMPS pour la lettre B, fils du premier mariage de Denis BONTEMPS avec Thérèse MILLERIOUX.

    Lors du recensement de 1872, un autre fils Denis BONTEMPS vit à Santranges au hameau des Perrières, avec sa femme Rose COURCELLE et trois enfants.

    Un dernier fils, Jean, est vivant cette même année, mais je ne l’ai pas localisé.

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    R… Remariage

    Solange Joséphine BLONDEAU* est née le 29 mai 1809 à Villegenon. Elle épouse Sylvain BEDU* en en 1831, puis en secondes noces Agnan FONTAINE à Dampierre-en-crot en 1851. Lui-même était veuf de Marie PIERRE .

    De sa première union, Solange Joséphine BLONDEAU donna naissance à Solange Joséphine* et Marie Constance BEDU ; cette dernière est décédée à l’âge de 28 ans. Du mariage avec Agnan FONTAINE, je ne retrouve qu’un enfant, Marie décédée à quelques mois.

    En 1872, notre couple vit au hameau de la Sansonnerie à Ivoy-le-Pré. Agnan est âgé de 59 ans et est laboureur.

    Nous retrouvons Solange Joséphine BEDU, qui est à la fois belle-fille et belle-soeur d’Agnan ! Elle a en effet épousé son frère Antoine Barnabé, décédé en 1871. Lors de leur mariage elle était âgé de 24 ans et lui … de 47.

    En 1872 elle vit donc avec sa mère et son beau-frère ainsi que ses enfants, Louis Paulin âgé de 15 ans, et Ernestine Joséphine âgée de 9 mois.

    Nous retrouvons également Auguste Agnan FONTAINE, âgé de 26 ans, fils de la première union d’Agnan FONTAINE.

    Et pour compléter la maisonnée, pas moins de six domestiques :

    • Frédéric RAFFAITIN, 31 ans
    • Gilbert AUGER, 28 ans
    • Joseph TITON, 22 ans
    • Céline BOURBON, 18 ans
    • Célestine BRULEE, 16 ans
    • Auguste PIECOU, 16 ans

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    Q… Qu’est devenue Marie LAUGERAT ?

    Marie LAUGERAT est la mère de Jean Thomas, qui fut placé à l’hospice de Bourges ; nous en avions parlé il y a quelques jours. Six ans après lui avoir donné naissance, elle épousa Silvain CHERRIER.

    Elle a déjà participé à mon challenge AZ, l’article est ici.

    Lors du recensement de 1872 elle est âgée de 70 ans, et vit à Boisbelle avec son époux Sylvain CHERRIER, âgé de  66 ans. Ce dernier fut tisserand puis pâtissier ; je pensais  qu’il avait exercé ce métier jusqu’à la fin de ses jours, mais dans le recensement il est noté aubergiste. Et sur son acte de décès en 1878 il exerçait la profession … de voiturier !

    Pour en terminer avec ce recensement, Marie BODIN, une domestique vit avec eux.

    Quant à Marie LAUGERAT, elle meurt en 1873.