• Challenge

    A … Anne FOUCHER et Jean DUPONT, tisserands à la Borne

    En ce 1er novembre, nous démarrons une nouvelle édition du challenge AZ, axée cette année encore sur les recensements de 1872, mais cette fois-ci chez les ancêtres de mon mari.  Notre premier couple sera Anne FOUCHER et Jean DUPONT. En 1872, ils sont tous deux âgés de 62 ans et vivent au hameau de la Borne, à Henrichemont.

    Jean DUPONT y exerce la profession de tisserand. Un petit aparté : si le village de la Borne, entouré de forêts, est célèbre encore aujourd’hui, c’est surtout pour ses potiers.

    Le dernier fils d’Anne et Jean, Alexandre, vit avec eux. Il est alors âgé de 21 ans. Alexandre deviendra également tisserand et épousera en 1878 Marie Eugénie BERNON. On apprendra dans l’acte de mariage qu’il fut exempté service militaire.

    Et leurs autres enfants ? Anne et Jean en eurent au moins sept, dont deux sont morts en bas âge.

    • Nous retrouverons leur fille Marie pour la lettre N.
    • Leur fille aînée Madeleine vit au hameau de Boisbelle (commune d’Henrichemont), avec son mari Félix BOUQUIN qui est tanneur, ainsi que leurs deux filles Marie et Lucie âgées de 12 et 6 ans.
    • Leur fils Jacques vit également à la Borne où il y est tisserand. Il vit avec sa femme Marie CHANTEREAU, leur fille Marie et leur fils Eugène âgé de 5 ans.
    • Je n’ai pas trouvé trace de leur autre fille Jeanne dont je sais qu’elle se mariera en 1875. Lors de son union elle était domestique ; en 1872 elle est peut-être déjà domestique, mais où ?

  • Challenge

    Etienne PORCHER, tisserand

    Nous changeons maintenant de commune pour nous rendre au Chezal Rousseau, à Subligny.

    J’y retrouve mes aïeux Etienne PORCHER, tisserand de 53 ans, et sa femme Henriette Constance DION, du même âge. Ils vivent avec deux de leurs enfants, Sidonie PORCHER âgée de 21 ans, elle-même mon ancêtre, et Etienne PORCHER âgé de 19 ans, tisserand comme son père (il n’aura pas pris de lui que le prénom !). Tisserand est un métier qui s’est transmis pendant au moins quatre générations.

    Sidonie quittera ses parents deux ans plus tard pour épouser Louis Henry LEGER (rendez-vous à la lettre L).

    En plus de ces deux enfants, deux autres devaient être en vie en 1872 : Jean Émile et Louis Eugène, âgés respectivement de 16 et 15 ans, qui seront également tisserands. Où étaient-ils en 1872 ? De nouvelles recherches en perspective !